La DH  pour le Café de la mort du 11 juin 2015 à Bruxelles

Extraits choisis

« On connaissait les cafés philo, les repair cafés ou les cafés Alzheimer. Sandrine, elle, a créé les Cafés de la mort. Derrière cet intitulé un peu morbide se cache un constat : la mort est un tabou dans notre société qu’il faut briser. »

« La mort est complètement cachée; or, la mort fait partie de la vie ! Nous y seront tous, tôt ou tard, confrontés. Pourtant, l’évoquer devient de plus en plus difficile dans notre société », explique Sandrine Tenaud. Et de poursuivre : « La mort a été confisquée soit par le corps médical, soit par la religion. On a très peu de choix sur notre fin de vie. Moi, j’aimerais que le citoyen se la réapproprie. Car tout a été aseptisé : il y a de moins en moins de rites funéraires, mourir chez soi est très compliqué, on ne peut pas répandre des cendres dans son jardin, etc. » (…) »

Article de la DH du 11/06/2015

Article de la DH du 11/06/2015

http://www.dhnet.be/regions/bruxelles/quand-la-mort-s-invite-au-cafe-5578a8e435709a87ac8be246