Le roman des morts secrètes de l'histoire

 

Le roman des morts secrètes de l’Histoire Philippe Charlier raconte comment on peut, dans certaines limites, réexpliquer un décès lointain en chaussant les lunettes de la médecine moderne. 


Alexandre le Grand, Cléopâtre, Gilles de Rais, Christophe Colomb, Marie Stuart, Molière, Marat, Casanova, Sissi, Raspoutine, les Romanov… Des personnages illustres dont la disparition reste nimbée de mystère. L’Histoire dit-elle la vérité ? Les causes de décès transmises au fil du temps sont-elles authentiques ? Une seule manière de le savoir : faire parler les morts… Exhumation de restes momifiés, comparaisons génétiques, recherche de traces d’empoisonnement, relecture de procès-verbaux d’autopsie… À l’aide des techniques de pointe de la médecine légale appliquées à l’archéologie, ce Roman des morts secrètes dissèque les plus grandes célébrités, parties en emportant le secret de leurs derniers instants. Un secret que l’Histoire s’est parfois bien gardée de révéler…

 

Philippe Charlier, médecin légiste au CHU de Garches, s’attache tous les jours, pour des raisons strictement professionnelles à révéler le secret des morts. À ses heures perdues, il a une marotte: les célébrités anciennes. Dans un livre qu’il vient de publier, Le Roman des morts secrètes de l’histoire, il raconte comment on peut, dans certaines limites, réexpliquer un décès lointain en chaussant les lunettes de la médecine moderne. Voltaire, Mozart, Diane de Poitiers, Cléopâtre, Alexandre Le Grand ou les Romanov: tous, par leur mort spectaculaire et souvent inexpliquée sur le moment, ont engendré leurs lots de rumeurs, d’écrits et de fantasmes: «Pendant des siècles, lorsque l’on ne savait pas expliquer un décès, on parlait aussitôt d’empoisonnement », explique le spécialiste. Il ne craint pas de désacraliser des mythes, apportant sa logique et sa déduction, grâce aux ­témoignages, à l’étude des sources ­historiques ou, plus spectaculairement, à celle des restes humains. En 2008, il s’est d’abord penché sur ceux de ­Diane de Poitiers et d’Agnès Sorel, avant de participer à l’équipe qui authentifia la tête d’Henri IV. Le carbone 14 puis l’ADN rendent son art quasi scientifique, apportant vérités ou contrevérités.


Philippe Charlier 
Né le 25 juin 1977 à Meaux (77), le Dr Charlier est médecin légiste, anatomo-pathologiste et paléopathologiste. Il travaille dans le Service de Médecine Légale (Hôpital Universitaire Raymond Poincaré, Garches) et est rattaché à 2 centres de recherche :

– Ecole Pratique des Hautes Etudes (4ème Section, Sciences Historiques et Philologiques, en Sorbonne, 45 rue des Ecoles, 75005 Paris)

– HALMA-IPEL (UMR 8164 du CNRS, Université de Lille 3, Villeneuve d’Ascq).

Philippe Charlier, véritable  » Indiana Jones des cimetières » a permis l’identification des restes fossiles d’Agnes Sorel, Diane de Poitiers et d’Henri IV mais a réfuté ceux attribués à Jeanne d’Arc. 

Rubrique : Histoire / Sciences

Biographie de l’auteur

Médecin légiste et docteur ès lettres, auteur de plusieurs essais historiques, Philippe Charlier établit des échanges fructueux entre médecine et archéologie. Parmi ses derniers  » patients « , il compte Agnès Sorel, Diane de Poitiers, Jeanne d’Arc ou encore Henri IV.

Détails sur le produit

Broché: 200 pages

Editeur : Le Rocher Editions (13 janvier 2011)

Collection : Le roman des lieux et destins magiques

Langue : Français

ISBN-10: 2268070476

ISBN-13: 978-2268070476

 

Voir les sources :

http://www.lefigaro.fr/livres/2011/06/28/03005-20110628ARTFIG00397-philippe-charlier-l-homme-qui-revelele-secret-des-morts.php

http://www.hominides.com/html/biographies/philippe-charlier.php