» Rosamond vient de mourir, mais sa voix résonne encore, dans une confession enregistrée, adressée à la mystérieuse Imogen. S’appuyant sur vingt photos soigneusement choisies, elle laisse libre cours à ses souvenirs et raconte, des années quarante à aujourd’hui, l’histoire de trois générations de femmes, liées par le désir, l’enfance perdue et quelques lieux magiques. Et de son récit douloureux et intense naît une question, lancinante : y a-t-il une logique qui préside à ces existences  » de Jonathan Coe // présentation du roman par l’éditeur (texte de la couverture de dos)

Plusieurs thèmes abordés, la transmission, l’histoire et l’évolution de la femme au fil des ans, l’Angleterre sous le Blitz, la mémoire et comment on peut oublier le pire pour survivre…

En fait, cette idée de choisir 20 photos, pour laisser un témoignage, m’a donné des idées pour mon propre compte sur foruforever. Faire le choix de 20 moments clés, que l’on peut décrire, raconter, ou associer à de la musique, c’est une belle façon de procéder.

Rosamond est  la narratrice de cette histoire. L'histoire qu'elle nous conte nous vient d'outre-tombe, enregistrée sur des cassettes, quelques jours, quelques heures à peine avant sa mort. Confidences faites non pas dans l'urgence – la veille dame prend tout son temps, un verre de malt à proximité si nécessaire, toute seule dans son cottage isolé – mais nécessaires, essentielles à celle qui les entendra plus tard quand tout sera fini pour elle.

On a tous feuilleté des albums de famille avec tantes et cousins dont on a vaguement entendu parler et qui émergent, sur des vieilles photos ou polaroid. Jonathan Coe reprend ces tendres fantômes de papier glacé et retrace avec une merveilleuse compassion leur vie secrète…

J’ai commencé à lire ce livre, plutot motivée… masi c’est après que ca n’allait plus, est ce que c’est du à la traduction ? mais au bout d’un moment, ce n’est plus captivant, l’écrivain se perd quand il parle du présent…

C’est un voyage un peu triste et mélancolique, qui manque, à mon avis de profondeur… Il n’est pas allé au bout de son idée … la fin est atone, et limite cliché.

Vous l’avez lu ?

Sinon je vais aussi aller voir  » L’Arbre »,de Julie Bertucelli avec Charlotte Gainsbourg qui aborde aussi le thème de la mort et du deuil.

A tout bientôt !

Sandrine

« On a le choix d’être heureuse ou triste… Et bien moi j’ai choisi d’être heureuse  » (extrait du film)