Le fil conducteur de la manifestation est un regret que Jessie Westenholz formule ainsi, la voix nouée : « Personne ne se dit : « C’est ma mort, et je voudrais la réussir. »». Avec Jean-Pierre Jouët, spécialiste comme elle de l’organisation de salons, elle a convié une centaine d’exposants et mis sur pied 23 conférences pour tenter de « réintégrer la mort à la vie ». (Salon de la Mort)

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